S'il fallait le faire.
Patricia Kaas est née le 5 décembre 1966 en Moselle.(France) Avec l’aide de ses parents, elle commence à donner des concerts dès l'âge de 8 ans. Elle donne des représentations sur des chansons de Sylvie Vartan, Claude François ou Mireille Mathieu.
Après, elle est engagée en 1979 dans un cabaret de Sarrebruck,où, pendant sept ans, elle chante tous les samedis soirs
Maintenant, ses albums sont commercialisés dans une quarantaine de pays et ses ventes sont estimées en 2009 à 16 millions à travers le monde.
Cette année elle représente la France au Festival Eurovision 2009 avec la chanson que vous pouvez écouter en cliquant sur la vidéo. Bonne chance pour la France !
Voilà les paroles aussi!
S’IL FALLAIT LE FAIRE
S’il fallait le faire
J’arrêterais la Terre
J’éteindrais la lumière
Que tu restes endormi
S’il fallait pour te plaire
Lever les vents contraires
Dans un désert sans vie
Je trouverais la mer
Et s’il fallait le faire
J’arrêterais la pluie
On fera demi-tour
Le reste de nos vies
S’il fallait pour te plaire
T’écouter chaque nuit
Quand tu parles d’amour
J’en parlerais aussi
Que tu regardes encore
Dans le fond de mes yeux
Que tu y vois encore
Le plus grand des grands feux
Paroles sur www.tictacflo.com
Et que ta main se colle
Sur ma peau où elle veut
Un jour si tu t’envoles
Je suivrai si je peux
Et s’il fallait le faire
Je repousserais l’hiver
A grands coups de printemps
Et de longs…
Diana.
Puisqu'il faut le faire...
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=7nw_F43GNRQ
La Rivière De Notre Enfance ( la douleur qui me lance )
Je me souviens d'un arbre
Je me souviens du vent
De ces odeurs vagues
Des années d’autan
Je revois à travers mes cils
Des fleurs sous mes pas
Je me souviens d’elle si fragile
Me portant dans ses bras.
Je vois comme dans un rêve
Toutes ces choses d’autrefois
Durant une pose brève
Le temps arrête ses pas
Et je revois le visage de celle
Qui se penchait sur mon berceau
Dans une robe en dentelle
Déchirée dans le dos
{Refrain:}
Ce n'est pas le temps qui apaise ce genre de peines
Non, cette douleur qui au cœur me lance,
Ce n’est pas même la mort, il faut bien qu’elle vienne,
C'est de n'plus voir les êtres chers qui ont bercé mon enfance
Je me souviens de leur départ
Auxquels l’on se résigne
De cette douleur qui nous égard
Où l’on tombe comme dans un abîme
Je me souviens certains jours
De leur parfum de leurs gestes
De leur tendresse de leur amour
C’est d’eux tout ce qui me reste
Je me souviens par hasard
Je me souviens un peu
De ces liens d’un soir
Où l’on croit être amoureux
Ils sont un tout, un tout petit nombre
Dont je suis la somme
Toutes ces chères ombres
Qui m’ont aidé à devenir un homme
{Refrain 2X:}